Deux ex-patrons de la Caisse des dépôts, Augustin de Romanet et l’ancien secrétaire d’État Jean-Pierre Jouyet, sont jugés à partir de ce lundi pour « favoritisme » et « détournement de fonds publics », au côté d’Alain Bauer. Le célèbre criminologue est soupçonné d’avoir profité de contrats de complaisance.
Le tribunal de Charleville-Mézières (Ardennes) a condamné le maire de Rethel, Joseph Afribo, à un an d'inéligibilité et 30 000 euros d'amende pour des faits de détournement de fonds publics datant d'une période où il était à la tête d'Acy-Romance.
La Lettre s'est procuré les quatre rapports de l'Agence française anticorruption sur les organismes publics de recherche. Si les enquêteurs n'ont pas pointé de failles majeures, leur audit demande à l'Inria, au CNRS, à l'ANR et à l'Inserm une montée en puissance sur le front de la prévention de la corruption.
Après plus de deux ans d’enquête, la maire de Bonac-Irazein et une seconde personne comparaîtront au mois de février prochain devant le tribunal de Foix pour prise illégale d’intérêts et recel de prise illégal d’intérêts.
Luc Jousse, maire de Roquebrune-sur-Argens jusqu’à sa destitution en 2016, est en fuite après avoir été condamné à un an de prison ferme pour « pantouflage ». Son casier judiciaire porte déjà la trace de sept condamnations ces huit dernières années.
Entre 2013 et 2016, le suivi du journal créé par François Ruffin coûtera plus de 2 millions d’euros au groupe de luxe, inégalement répartis entre des prestataires en cascade.
L’association Anticor a fait appel, le 4 novembre, de l’ordonnance de non-lieu rendue par un magistrat instructeur dans l’un des volets instruits pour « corruption d’agent public étranger ». Une information judiciaire est menée en parallèle, depuis fin 2022, sur un autre volet de l’affaire en lien avec l’actuel chef de l’Etat.
Ce vendredi 22 novembre, Yves Michel, maire de Marseillan et vice-président de l’Agglo du Bassin de Thau, était poursuivi devant le tribunal de Béziers avec six autres personnes dont le directeur général des services de sa mairie, son directeur des services techniques, mais encore deux maîtres d’œuvre et deux entrepreneurs en lien avec la famille du maire. La justice rendra son délibéré le 20 décembre prochain.
Saisie en 2015 par la justice française, qui la considère comme « un objet du blanchiment », cette maison des Yvelines appartient toujours au président du Congo-Brazzaville.