Selon un arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), rendu mardi 10 septembre, le géant américain Apple est condamné à verser treize milliards d’euros au gouvernement irlandais.
En 2015, comme d’autres petites mains dont le procès s’ouvre le 30 septembre à Paris, le jeune lepéniste était payé par l’Europe mais employé par le RN. Pour camoufler cet emploi fictif, l’actuel président du parti a aidé à produire de fausses preuves de travail, révèle un livre à paraître.
A partir de ce lundi 9 septembre s’ouvre devant la 32e chambre correctionnelle du tribunal judiciaire de Paris un procès assez exceptionnel. Huit militaires issus du Centre du soutien des opérations et des acheminements (CSOA) et du Commandement des opérations spéciales sont jugés pour favoritisme, et l’un d’entre eux pour corruption. Ils vont devoir s’expliquer sur la manière dont ont été passés, de 2011 à 2015, des appels d’offres pour le transport des militaires et de leurs équipements sur le théâtre d’opérations extérieures. Ce que le ministère des Armées appelle dans son jargon les «opex». Pour la période concernée, il s’agit essentiellement des missions en Afrique dans le cadre du dispositif Barkhane ou en Afghanistan où sont présents des contingents de soldats français.
Seules 42 personnes bénéficient en France de ce statut, né il y a vingt ans. Un nouveau texte de loi devait être présenté, avant la dissolution de l’Assemblé, pour améliorer le dispositif autour de cet acteur judiciaire, bien connu en Italie et aux Etats-Unis.
Arrêté mardi dernier à Beyrouth, l'ancien gouverneur de la Banque du Liban, Riad Salamé, a été maintenu en détention à l'issue de son interrogatoire, a indiqué à l'AFP une source judiciaire. Il est notamment suspecté de détournement massif de fonds publics.
Le chef adjoint de la police aux frontières de Figari a été révoqué de la police nationale, à la suite d’un rapport accablant de l’IGPN. Il est mis en examen pour corruption et extorsion aux dépens de personnes étrangères en situation irrégulière.
Des messages rédigés par l’ancien ministre des comptes publics démontrent son intervention pour favoriser les affaires fiscales du club parisien lors du transfert de Neymar en 2017. Il se confirme qu’il a œuvré avec Jérôme Fournel, le nouveau directeur de cabinet du premier ministre Michel Barnier.
Il y a quelques mois, Mediapart révélait qu’en 2017, Gérald Darmanin et son directeur de cabinet Jérôme Fournel avaient aidé le PSG à ne pas payer des dizaines de millions d’euros de taxes contre la jurisprudence de l’administration fiscale. Ce même Jérôme Fournel vient d’être promu auprès du nouveau premier ministre.
Mis en examen pour trafic d’influence, l’ancien vice-président de l’Assemblée nationale, qui a cherché à travailler au PSG, a servi d’intermédiaire en 2017 auprès de Gérald Darmanin, alors ministre de l’action et des comptes publics, dans le cadre de l’exonération fiscale du transfert au club du joueur brésilien Neymar.